Notre monde se retrouvant bouleversé actuellement par la crise du coronavirus, il est intéressant de regarder aussi son impact sur notre controverse.

Le lien essentiel entre la recherche et la question de l’immortalité avec la crise du COVID-19 est la vieillesse, qui est de loin le principal facteur de mortalité du virus. Cette crise met profondément en lumière l’urgence d’améliorer la santé des personnes vulnérables : celles ci étant actuellement bien plus sensibles aux maladies. Pour éviter à l’avenir une mortalité aussi élevée chez cette population vulnérable, il est nécessaire d’améliorer la santé de ces personnes; et le fait est que les traitements anti-âge semblent d’excellents candidats pour renforcer durablement leur santé.

Les chercheurs voient donc dans le COVID une opportunité d’obtenir des financements supplémentaires pour leurs recherches. Ces financements seront encore plus probables selon eux si ils arrivent à profiter des changements provoqués par la crise du COVID. La science est maintenant omniprésente dans les médias, et particulièrement axée sur la santé : c’est un sujet sur lequel le public est familier en ces temps ci. Il est donc temps pour eux de maximiser leurs communications sur le sujet.

Auparavant, des études ont été publiées sur l’impact bénéfique potentiel drastique d’un point de vue socio-économique de l’augmentation de la durée de vie globale ( études réalisées aux Etats-Unis ) , mais qui néanmoins n’ont eu aucunes répercussions sur la politique publique. Aujourd’hui, la science du vieillissement et la recherche de traitements anti-âge devient de plus en plus crédible : grâce à la pression du coronavirus sur les politiciens pour l’amélioration du cadre socio-économique dégradé dans le monde entier, les politiciens pourraient se tourner vers des outils différents, et notamment des traitements anti-âge. Ce serait d’ailleurs un excellent moyen de montrer au public que les traitements anti-âge fonctionnent, dans le cadre d’un sujet qui l'intéresse.

En résumé, la crise du coronavirus crée actuellement des circonstances exceptionnelles qui pourront influencer le pouvoir politique en la faveur de traitements anti-âge pour prévenir les futures épidémies et améliorer la santé des populations sensibles, à la grande satisfaction des chercheurs de technologies anti-vieillissement.